Florence Udriot - psychologue spécialiste en psychothérapie FSP
Rue de la Madeleine 28 - 1800 Vevey (Vaud) - Suisse - +41 21 921 14 01 -
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Psychologue diplômée de l’Université de Lausanne, je me suis d’abord spécialisée en psychothérapie cognitive et comportementale à l’Association Suisse de Psychothérapie Cognitive (ASPCo) en collaboration avec l’Université de Genève. J’ai obtenu également le titre de psychologue spécialiste en psychothérapie FSP qui me permet d’être reconnue par les caisses maladies.
Depuis plus de 10 ans, je travaille comme psychologue dans le champ de la santé physique et psychique. J’ai de l’expérience avec un grand nombre de troubles psychologiques notamment les problèmes de stress, les troubles anxieux et les états dépressifs. Je prends régulièrement en charge des personnes souffrant de troubles de sommeil ayant collaboré avec un centre de sommeil durant plusieurs années.
Ayant une vision intégrative de la psychothérapie, je me suis formée à d’autres approches que j’intègre dans ma pratique quotidienne : une formation en Travail Groupal Analytique avec le centre de formation des Hôpitaux Universitaires de Genève, et une autre en EMDR (Eye Movement Desensitization And Reprocessing) qui permet de traiter les angoisses reliées à des souvenirs « non digérés » ou à des traumas.
Mon cabinet se situe en Suisse Romande dans le Canton de Vaud à Vevey.
Je vous souhaite une bonne navigation sur ce site. Pour toutes questions n’hésitez pas à me contacter.
Vous trouverez ci-dessous 4 rubriques destinées à vous donner un aperçu de ce qu'est la TCC.
N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez de plus amples informations.
La TCC est une méthode de traitement centrée sur les problèmes situés dans l’ici et le maintenant.
Elle part de l’idée philosophique que nos réactions sont davantage déterminées par la façon dont nous percevons les événements que par les événements eux-mêmes.
Elle permet, d’une part, de prendre conscience de notre perception des événements en identifiant nos émotions, nos cognitions (pensées automatiques) et nos comportements, et d’autre part, d’apprendre à assouplir notre style de pensée afin de pouvoir mieux faire face aux difficultés quotidiennes.
La TCC est une méthode reconnue qui a prouvé son efficacité.
Elle s’adresse aux personnes souffrant de difficultés psychologiques telles que :
• Les problèmes liés au stress et les états de stress post-traumatique
Tout le monde connaît une phase de cafard, de tristesse ou de spleen. Parler un peu, se changer les idées permet de passer ce mauvais moment. Il ne s’agit pas d’une dépression. Par contre, quand l’humeur « noire » commence à durer et envahit la vie quotidienne par un cortège de fatigue et de découragement, la dépression commence à s’installer. Charlotte, par exemple, nous livre qu’elle se sent très mal depuis plusieurs mois. Elle dort mal et se réveille très tôt le matin. Elle a souvent des idées négatives telles que « je suis nulle », « je suis moche » et elle a même parfois des idées de mort. Elle n’a plus envie de rien et les plaisirs qu’elle éprouvait auparavant ne lui procurent plus de joie. Madeleine souffre d’une dépression. Elle a besoin d’être aidée pour sortir de cette spirale négative.
Dès que Josiane voit une araignée, et cela même à la télévision, elle commence à ressentir de la peur, parfois son cœur commence à battre plus rapidement, elle ressent une bouffée de chaleur. Chaque fois qu’elle peut ne pas être confrontée à une araignée, elle l’évite. Josiane souffre d’une phobie spécifique. Cette dernière se caractérise par une peur intense et persistante irrationnelle et déclenchée par un objet ou une situation spécifique. Cela peut être encore le cas de Martine qui souffre d’agoraphobie. A chaque fois qu’elle se trouve dans un tunnel, une foule, une file d’attente, dans les transports en commun, elle a l’impression qu’elle est coincée. Par ailleurs, quand elle part loin de chez elle, elle a de plus en plus peur de n’être pas secourue en cas de malaise ou d’attaques de panique.
« Je ne peux pas ne pas m’imaginer le pire quand mes enfants sortent de la maison. Il faut toujours que je me fasse du souci. Et pis s’ils leur arrivaient un malheur ? » dit Marlène. Chaque mois Marlène a aussi peur d’avoir une trop grande note de téléphone. Elle se demande si elle va réussir à payer toutes ses factures. Quant à Martin, il a souvent des inquiétudes au sujet de sa santé. Dernièrement, il a repéré une tâche brune sur son bras et même après vérification auprès de son médecin, il continue à se faire du souci. « Et si j’avais une tumeur maligne ? », se dit-il. Marlène et Martin souffrent d’anxiété généralisée. Il s’agit de soucis ou d’inquiétudes excessives portant sur des thèmes tels que l’argent, le travail, la santé mais aussi sur des événements mineurs ou anodins. Dans le cas de Marlène, les inquiétudes portent principalement sur sa famille et l’argent. Inquiète, elle se plaint aussi souvent de douleurs physiques, de tension ou d’agitation. Quant à Martin, ses inquiétudes portent surtout sur sa santé. Il continue de se faire du souci malgré ses visites régulières chez son médecin.
Marion a souvent des attaques de panique depuis quelques mois. Elle ressent une crainte ou un malaise intense accompagnés notamment de palpitations, de bouffée de chaleur, d’une gêne thoracique, d’une oppression respiratoire et de tremblements. Parfois, elle a l’impression qu’elle va devenir folle, qu’elle va perdre le contrôle, voire même mourir. Les attaques de panique de Marion se déclenchent lorsqu’elle se sent enfermée notamment dans un bus bondé mais aussi sans cause apparente. Par ailleurs, les attaques de panique peuvent surgir brutalement et atteindre leur acmé en en moins de dix minutes.
Je suis incapable d’écrire lorsque quelqu’un m’observe. Toute seule, je n’ai aucune difficulté pour écrire mais dès que je suis avec un collègue, mes doigts se crispent sur le stylo, ma main tremble, tout mon corps transpire. Et je ne peux plus rien faire, dit Elodie. « J’ai peur de me comporter de manière ridicule et embarrassante ». Si Elodie a peur d’écrire en présence d’un collègue, d’autres personnes souffrant d’anxiété sociale peuvent ressentir une peur importante dans d’autres situations spécifiques telles que parler, manger en public ou alors elles peuvent éprouver une anxiété sociale généralisée dans toutes les situations l’exposant à un public susceptible de mal les juger.
Les obsessions sont des pensées pénibles qui font intrusion à l’esprit d’une manière répétitive. Elles s’imposent contre la volonté. Sarah prend conscience qu’elle a de plus en plus de pensées inquiétantes concernant la propreté. Elle a peur d’être contaminée par des microbes. Paul a de plus en plus de peur de faire des erreurs dans son travail. Les obsessions peuvent porter sur plusieurs thèmes : propreté, erreur, malheur, agressivité ou religion. Les personnes souffrant d’obsessions vont vouloir diminuer leur anxiété en développant des compulsions, soit des rituels. Sarah, par exemple, commence à exécuter des rituels de lavages compulsifs en se lavant les mains une vingtaine de fois par jour et à éviter de plus en plus de situations angoissantes. Paul vérifie son travail encore et encore à tel point que la performance en pâtit. Il devient de plus en plus lent dans ses tâches.
Le stress fait partie de la vie. Il s’agit d’une réaction non spécifique d’une personne soumise à des stresseurs, soit par exemple une surcharge professionnelle, un divorce, une période de chômage, un mariage ou des problèmes relationnels. Le stress est positif quand il motive, quand il pousse à agir. Par contre, quand la réaction est trop intense ou trop durable, les problèmes surviennent. Georges est soumis à des difficultés professionnelles importantes depuis presque 1 an, il entre dans une phase d’épuisement. Il souffre de migraines et de troubles digestifs. Par ailleurs, il devient de plus en plus anxieux et déprimé. Savoir gérer son stress est donc important pour la performance et le maintien de la santé physique et psychologique.
Quand Aline, victime d’un accident de voiture, monte dans une voiture à la place du passager, elle devient angoissée. Elle commence à ressentir des palpitations et une bouffée de chaleur. Elle revoit sans pouvoir s’en défendre les images de son accident. Elle préfère alors éviter le plus possible de monter en voiture. Depuis son accident il y a 5 ans, sa vision de la vie s’est modifiée. Elle est devenue plus inquiète qu’auparavant. Aline souffre d’un état de stress post-traumatique.
Quand une personne est confrontée à une situation de vie menaçante et qu’elle se sent en danger de mort, une réaction programmée par l’instinct de survie se déclenche. Après cette première réaction de peur, viennent les étapes d’assimilation de l’événement qui permettent petit à petit d’intégrer ce dernier dans l’histoire personnelle. Ce sont des étapes tout à fait normales de la réaction au stress. Or, parfois cette digestion ne se fait pas, le temps ne réussit pas à cicatriser les blessures. C’est l’état de stress post-traumatique.
Il est 1h00 du matin et cela fait deux heures qu’Antoine tente de s’endormir. Un défilé de pensées inquiétantes se presse dans sa tête. Il se dit, par exemple, « est-ce que je vais pouvoir assumer mon travail demain ? ». Il essaye de compter les moutons, de faire le vide dans son esprit mais aucune des stratégies ne fonctionnent. Antoine devient de plus en plus anxieux. Finalement épuisé, il s’endort une heure après. La plupart du temps, il a d’énormes difficultés à s’endormir mais parfois il se réveille aussi plusieurs fois pendant la nuit. Antoine souffre d’insomnie.
Il existe d’autres troubles du sommeil telles que l’hypersomnie soit une somnolence excessive au cours de la journée qui n’est pas due à un manque de sommeil, les troubles du rythme veille-sommeil ou encore les parasomnies comme les terreurs nocturnes, les cauchemars et le somnambulisme.
Les troubles alimentaires les plus connus sont : l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie boulimique. Nathalie, par exemple, souffre d’anorexie et refuse de maintenir son poids au-dessus du minimum normal pour son âge et sa taille. Elle éprouve une peur intense de paraître grosse. Quand elle se regarde dans le miroir, elle se trouve d’ailleurs trop grosse. Elle cherche de plus en plus à contrôler son alimentation, à faire du sport excessivement ou à utiliser des méthodes de purge.
Séverine fait depuis deux ans des crises de boulimie. Elle a fait sa première crise suite à un régime drastique. Après des mois de privation, elle s’est jetée sur plusieurs paquets de biscuits avec du beurre de la confiture. Si Séverine a repris une alimentation plus raisonnable, le problème s’est représenté. Son poids a augmenté progressivement. Séverine souffre d’hyperphagie boulimique.
Quant à Isabelle, ses crises de boulimie ont commencé à 15 ans. Après avoir souffert d’une rupture amoureuse, elle s’est dite qu’elle plairait davantage si elle était plus mince. Après une période de régime, elle se rend compte qu’elle est incapable de résister à ses fringales et commence à se faire vomir après chaque crise. C’est souvent à l’âge d’Emilie que la plupart des cas de boulimie se déclarent.
Julien fume 2 paquets de cigarettes par jour, Anna prend régulièrement de la cocaïne, Hervé termine toutes ses journées au bar à boire de l’alcool. Il y a aussi André qui est un bourreau de travail et qui ne sait pas se reposer. Tous souffrent de dépendance, une dépendance qui s’est mise en place progressivement et insidieusement. Quand la prise de conscience s’effectue, le piège est refermé. Il est difficile de se passer du produit ou du comportement. Par exemple, Julien peut de moins en moins se passer de cigarettes. Dès le matin, il a besoin de sa cigarette pour combler le manque. Plusieurs tentatives d’arrêt du tabac ont été faites, mais il a chaque fois échoué. Il a fini par se résigner.
« Après une longue période de rapports sexuels avec mon ami satisfaisants et non douloureux, j’ai commencé à ressentir des douleurs lors de chaque pénétration », dit Annie qui souffre de dyspareunie. Il existe encore d’autres problèmes sexuels chez la femme tels que la frigidité, soit un manque de désir ou encore le vaginisme, soit des spasmes musculaires empêchant la pénétration. Chez les hommes, on rencontre surtout des troubles tels que l’impuissance ou l’éjaculation précoce.
Au cours des années, Jean traverse des périodes maniaques et des périodes de dépression. Quand la manie de Jean débute, il se sent plein d’énergie, très créatif. Il ressent aussi un sentiment surdimensionné de grandeur ou d’importance. Ses pensées s’accélèrent, il commence à parler très rapidement. La communication avec autrui devient mal aisée. Il commence à effectuer des dépenses inconsidérées et a une activité sexuelle à risque. Cette phase peut durer plusieurs semaines et alterner soit brusquement soit lentement par une phase de dépression. Quand Jean traverse des périodes de dépression, il se sent triste et perd de l’intérêt dans les choses qu’il apprécie habituellement. Il commence à se sentir ralenti, inutile et présente une faible estime de lui-même. Jean souffre d’un trouble bipolaire.
A savoir qu’il existe aussi des formes atténuées du trouble bipolaire. La personne passe par des épisodes hypomaniaques (les symptômes sont moins sévères) et des épisodes dépressifs. Les conséquences sont moins handicapantes dans la vie quotidienne.
Tout individu a sa propre personnalité c’est-à-dire sa perception de soi et des autres et sa vision du monde. Chacun a aussi sa manière de gérer ses émotions soit par exemple les contenir ou les exprime et chacun a son style cognitif, soit sa façon de penser qui peut être plus ou moins rationnelle. Une personne a un trouble de la personnalité lorsque son style de pensées est trop rigide et entraîne une trop grande souffrance.
Anne, par exemple, est très perfectionniste, méticuleuse et se soucie énormément de la propreté. Quand Anne est confrontée à ses émotions, elle fait tout pour les contenir. Elle est éprise des règles et apprécie le raisonnement. Elle se voit plutôt comme responsable et efficace. Les autres, par contre, sont souvent incompétents et irresponsables. Ses règles inflexibles qui gouvernent sa vie lui rendent ses relations avec ses collègues très difficiles. Anne souffre d’un trouble de la personnalité obsessionnelle. C’est le cas aussi du personnage de Jack Nicholson dans le film « Pour le pire et pour le meilleur » (1997). Jack Nicholson illustre la personne rigide et enfermée dans ses jugements moraux. Il sait mieux que quiconque ce qui se fait et ne se fait pas. Sa gentillesse est recouverte par des traits rigides qui le rendent antipathique.
La TCC a une durée limitée dans le temps. Les séances sont en général hebdomadaires. Au début du traitement, le patient et le thérapeute définissent ensemble les problèmes et les objectifs de la psychothérapie.
Pendant le traitement, le thérapeute fait appel à des techniques cognitives qui permettent d’identifier les pensées automatiques et les distorsions cognitives, et d’assouplir les schémas de pensée.
Le thérapeute utilise aussi des techniques comportementales telles que la résolution de problèmes, l’affirmation de soi, la gestion du stress, et un travail d’expositions aux situations anxiogènes.
Il peut aussi employer des techniques centrées sur les émotions, de la relaxation, du mindfulness et des outils d’acceptation de nos pensées et de nos émotions dans un but de changement.
La TCC est basée sur une collaboration entre le patient et le thérapeute.
Elle privilégie l’interactivité. Le thérapeute et le patient sont actifs.
Elle demande au patient un travail d’observation à effectuer dans sa vie quotidienne en dehors des séances.
Elle est pédagogique. Le modèle de la TCC et les techniques utilisées sont clairement expliqués au patient.
Voici quelques livres destinés au patient concernant la psychothérapie cognitive et comportementale et les différents troubles psychiques.
Cadre
La psychothérapie est un processus qui demande un investissement personnel et dont la durée est difficile à déterminer à l’avance. Pour entrer dans un processus thérapeutique, il est préférable de pouvoir venir régulièrement à raison d’une fois par semaine.
La durée d’une séance est de 50 mn.
Remboursement
Depuis le 1er juillet 2022, la psychothérapie conduite par des psychologues-psychothérapeutes FSP travaillant de manière indépendante peut être prise en charge par votre assurance de base (LAMAL).
Il vous faut pour cela une prescription médicale. Votre médecin généraliste ou un psychiatre peut remplir un formulaire de prescription pour 15 séances qui peut être renouvelé facilement pour 15 autres séances. Au-delà de 30 séances, la poursuite de la psychothérapie est possible mais sur avis d’un médecin conseil de votre assurance.
Il est évidemment bien sûr toujours possible de financer personnellement le paiement de la psychothérapie.
Pour plus de renseignements, vous pouvez me téléphoner au 021/921.14.01
Il est aussi possible d'entreprendre une psychothérapie par Skype. Cela est envisageable pour toutes personnes ne pouvant pas se déplacer au cabinet pour entreprendre une psychothérapie.
Plusieurs recherches ont démontré que les thérapies en ligne sont efficaces. Kessler et al 2009, efficacité de la psychothérapie online, le démontre dans leur recherche. La thérapie cognitive et comportementale faite "online" est tout aussi efficace pour soigner la dépression que la TCC en face à face en cabinet.
Le cadre est le même que pour une psychothérapie en face à face. Une séance dure 50mn à raison d’une fois par semaine.
Tarif et mode de paiement sur demande.
Vous pouvez me contacter soit par email via le site internet soit par téléphone :
+41 21 921 14 01
Cabinet de psychothérapie cognitive et comportementale
Florence Udriot
Psychologue spécialiste en psychothérapie FSP
Rue de la Madeleine 28
1800 Vevey
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